

La Blockchain au service des consommateurs …
et de la communication des distributeurs
On ne peut plus être un acteur du secteur de l’identification automatique sans parler de blockchain, sujet certes à la mode, mais fondé sur des bases très solides.
Il y a encore 1 ou 2 ans, les blockchains n’étaient quasiment associées qu’aux cryptomonaies telles que le Bitcoin qui en a été à la genèse en 2008.
Mais depuis ces derniers mois, on a vu fleurir un nombre impressionnant de projets basés sur cette technologie redoutable de fiabilité.

la chaîne de blocs en quelques mots
Basée sur la collecte d’informations dans des blocs incrémentés et horodatés, cette chaîne de blocs est partagée entre tous les intervenants de la transaction (transfert de bitcoins par exemple) ou de la supply chain (registre de données) ou encore d’un contrat (juridique.
Le fait d’être partageable la rend infalsifiable et ineffaçable. En effet, de par le partage à chaque création d’un nouveau bloc le registre est de nouveau comparé et validé. Ainsi aucune information déjà enregistrée ne peut être effacée sans rupture de la chaîne. Le registre est donc infalsifiable.

la chaîne de blocs pour la traçabilité des produits
En tant qu’industriel, acteur de la traçabilité c’est ce deuxième cas d’usage qui nous intéresse. et plus particulièrement les projets qui y associent des tags physiques d’identification
En effet une blockchain de traçabilité n’a pas forcément besoin d’une matérialisation du registre. il suffit qu’il puisse être consulté en cas de besoin. Mais elle peut devenir aussi source d’information pour un consommateur, pour peu qu’on la renseigne d’information « produit » à chaque étape de la fabrication ou de la transformation du produit.

Image de l’article LSA du 6 mars 2018 : Traçabilité : Carrefour lance sa blockchain du poulet

Le poulet d’Auvergne deviendra un cas d’école
C’est sur cette logique que Carrefour a testé cette technologie de traçabilité en l’applicant en tout premier lieu sur son Poulet d’Auvergne.
Plus d’information dans l’article de Science et avenir
https://www.sciencesetavenir.fr